Aurore de La Morinerie

  • Un livre : Venise comme je l’aime – Un guide pour se perdre- Editions Elzeviro

Quatre voyageuses, la réveuse, l’aventurière, l’érudite et l’élégante, toutes amoureuses de Venise nous prennent la main et nous guident, chacune selon sa personnalité, elles déambulent dans les rues étroites mais aussi sillonnent les canaux sur les gondoles.  Elles nous ouvrent les portes des palais et nous nous retrouvons sur une altana, puis dans ce cinéma « Paradiso » en plein air, nous rêvons dans un cloître, nous les suivons encore, et grâce à elles entrons dans un bar à cicheti…

Ces belles vénitiennes nous révèlent des secrets de cette ville,  enfouis dans les eaux du Grand Canal.

La collectionneuse imagine son salon d’hiver et nous livre ses adresses : « Dans un coin du salon une table ronde dressée pour le dîner, une nappe rose achetée chez Chiara Stella Cattana, des assiettes en porcelaine dessinées par Matteo Corvino à l’occasion de mon anniversaire, les verres à vin en cristal de roche sont d’Attilio Codognato… »

Aurore de La Morinerie, en trois coups de pinceau, me croque un très joli portrait de parisienne, je file à l’italienne et vous dit ciao !!!

Florence Briat Soulie

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Venise comme je l'aime

Venise comme je l’aime

Mon portrait par ©Aurore de La Morinerie

Dédicace mercredi 9 décembre à 19h30

Librairie Delamain – 155, rue Saint Honoré 75001 Paris
Tel : 01 42 61 48 78

France Thierard et l’illustratrice Aurore de La Morinerie seront là pour vous dédicacer ce très beau guide sur Venise. C’est aussi l’occasion de rencontrer Aurore qui je suis sûre vous dessinera une belle voyageuse.. Moi j’ai déjà le mien !

Ce guide existe en italien et français et bientôt en anglais.

©Aurore de La Morinerie
©Aurore de La Morinerie

« La Rêveuse fantasque, intuitive et sensuelle.
Elle écoute chanter le carillon des cloches puis lève les yeux sur les ailes de Venise. Elle reste des heures attablée à la terrasse d’un café sur un campo à lire il Gazzettino, en la compagnie de l’oiseau qu’elle laisse lui voler son croissant.Après une longue visite au Palais Fortuny ou une pause silencieuse dans un cloître, elle fond de bonheur avec sa gelato et flâne le long des quais du Cannaregio. Elle rêve sur les eaux de Venise, navigue sur les sentiers li- quides, se joue des clairs obscurs et des reflets des palais sur les miroirs des flots.Au détour d’une calle, elle s’enivre du parfum d’un jasmin, à la recherche du jardin d’Eden. Elle s’émerveille pour toujours du coucher de soleil. La nuit, elle entraîne son amoureux au pied du bassin quand la lune rousse se lève sur les coupoles San Giorgio Maggiore.Au pied de l’eglise de la Salute, ils dansent le tango ou se laissent bercer par le rythme d’une gondole.
La Rêveuse jouit de l’instant, philosophe avec une mouette, respire Venise et s’imprègne de son fracas comme de son silence. « 
France Thierard extrait de Venise comme je l’aime

Aurore expose actuellement ses dessins à Galliéra pour l’exposition  « La mode retrouvée / La comtesse Greffulhe »

Librairie Delamain – Dédicace Venise comme je l’aime

  • Palais Galliera – La mode retrouvée – Les robes trésors de la Comtesse Greffulhe

Du 7 novembre 2015 au 20 mars 2016

http://palaisgalliera.paris.fr/fr/expositions/la-mode-retrouvee

« Aucun élément n’entre en elle qu’on ait pu voir chez aucune autre ni même nulle part ailleurs. Mais tout le mystère de sa beauté est dans l’éclat, dans l’énigme surtout de ses yeux. Je n’ai jamais vu une femme aussi belle. » écrit Proust à Montesquiou.

Comtesse Greffulhe – Palais Galliera Robe Worth (mariage de sa fille)

La comtesse Greffulhe qui apparait dans le roman de Proust A la recherche du temps perdu sous les traits de la sublime duchesse de Guermantes. Une femme qui était l’équivalent d’une star, d’une immense beauté qu’elle a su garder jusqu’à la fin de sa longue vie ! A 70 ans  elle n’en paraissait à peine 50 ! Elle était très talentueuse, tout lui réussissait, comme si les fées lui avaient tout offert à sa naissance !

Fascinante, elle adorait être admirée, elle était un des personnages les plus photographié de son époque avec Cléo de Mérode,  mais n’hésitait pas à prendre parti pour des causes importantes, son salon était une annexe du Quai d’orsay ! Avec son cousin Montesquiou, elle orchestrait ses apparitions, imaginait des tenues exceptionnelles comme cette robe au Lys de Worth.

Une garde-robe prestigieuse qui porte les griffes de Worth, de Fortuny, de Babani, des Sœurs Callot ou de Lanvin.

A l’occasion de cette exposition Aurore de La Morinerie a fait des portraits de la Comtesse Greffulhe et ses dessins sont présentés au milieu de ses tenues. J’aime beaucoup l’allusion à « un parfum disparu » de Laurent Cotta, pour décrire l’oeuvre d’Aurore de La Morinerie, car c’est tout à fait vrai, l’héroïne devient une apparition fugitive  qu’on aimerait saisir, sur les monotypes et encres de chine de l’artiste.

Florence Briat Soulie

« …Aurore de La Morinerie dresse un portrait nécessairement subjectif de cette femme comme on recrée un parfum disparu dont on aurait conservé le souvenir.  » Laurent Cotta

Catalogue de l’exposition la mode retrouvée avec ma spéciale dédicace d’Aurore de La Morinerie

Commissariat :
Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera,
Et l’équipe de la conservation et de la documentation du Musée de la Mode de la Ville de Paris,
Alexandra Bosc, Laurent Cotta, Sophie Grossiord, Sylvie Lécallier et Sylvie Roy.

 

Séance de pose avec Aurore :

La Comtesse Greffulhe- L’ombre des Guermantes – Laure Hillerin aux éditions  Flammarion  … Pour prolonger votre visite du Musée Galliera!

 

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